Issepts - Août 2009
Le Loriot est plus facile à entendre qu'à voir, quant à le photographier...Il se perche très souvent à la cime des arbres les plus hauts, en général des feuillus. Plus facile, comme ici, quand c'est en haut d'un connifère.
Certainement un mâle :
Une femelle ou un juvénile (moins jaune, couleur verdatre)
mercredi 26 août 2009
Notes de lectures
Voici une nouvelle « rubrique » constituée par des notes de lectures. Evidemment, sujet du blog oblige, ces notes concernent les oiseaux et nos rapports avec eux.
Elles sont collectées au hasard de mes lectures (pas forcément ornithologiques…), et n’ont comme ambition que de susciter, j’espère, votre intérêt.
Si, vous aussi, vous faites des lectures intéressantes sur le sujet, n’hésitez pas à nous en faire part. Seule petite contrainte : éviter les exposés trop longs…
Quand les oiseaux constituaient une monnaie d’échange…(*)
Le « Faucon Gerfaut » est le plus grand faucon au monde, il est localisé exclusivement en Islande et dans le nord de l’Europe. Ce sont les Vikings du Groenland qui, au moyen-âge, les ont importés sur le continent.
L’oiseau était très apprécié à l’époque (sans doute pour ses qualités de chasseur) et constituait une source de revenue non négligeable pour les Vikings. Comme preuve J. Diammond donne l’exemple historique suivant : « en 1396 douze de ces oiseaux suffirent à payer la rançon du fils du duc de Bourgogne qui avait été capturé par les Sarrasins ».
(*) « Effondrement » de J. Diamond, ed Folio Essais, p 387
Mystères Sahariens
Dans son livre « Méharées » (*), Th. Monod consacre un chapitre à la faune saharienne. En ce qui concerne les oiseaux il dénombre 90 espèces (contre 450 en France), dont 26 spécifiques au Sahara.
Petit mystère de la nature et physiologie saharienne : toute espèce vivante a besoin de boire pour vivre, or, manifestement, les espèces sahariennes « peuvent vivre sans boire ». C’est aussi vrai pour les oiseaux : seules trois espèces, granivores, sont très liées aux points d’eau et « ne s’en éloignent guère ». Mais comment font les autres ?
Il est vrai que le texte de Monod date de 1937, j’ignore si la connaissance scientifique a progressé sur le sujet…Sinon il y a là un sujet d’étude passionnant.
(*) « Méharées » de Th. Monod, ed Actes Sud 1989, p 235, 236
Elles sont collectées au hasard de mes lectures (pas forcément ornithologiques…), et n’ont comme ambition que de susciter, j’espère, votre intérêt.
Si, vous aussi, vous faites des lectures intéressantes sur le sujet, n’hésitez pas à nous en faire part. Seule petite contrainte : éviter les exposés trop longs…
Quand les oiseaux constituaient une monnaie d’échange…(*)
Le « Faucon Gerfaut » est le plus grand faucon au monde, il est localisé exclusivement en Islande et dans le nord de l’Europe. Ce sont les Vikings du Groenland qui, au moyen-âge, les ont importés sur le continent.
L’oiseau était très apprécié à l’époque (sans doute pour ses qualités de chasseur) et constituait une source de revenue non négligeable pour les Vikings. Comme preuve J. Diammond donne l’exemple historique suivant : « en 1396 douze de ces oiseaux suffirent à payer la rançon du fils du duc de Bourgogne qui avait été capturé par les Sarrasins ».
(*) « Effondrement » de J. Diamond, ed Folio Essais, p 387
Mystères Sahariens
Dans son livre « Méharées » (*), Th. Monod consacre un chapitre à la faune saharienne. En ce qui concerne les oiseaux il dénombre 90 espèces (contre 450 en France), dont 26 spécifiques au Sahara.
Petit mystère de la nature et physiologie saharienne : toute espèce vivante a besoin de boire pour vivre, or, manifestement, les espèces sahariennes « peuvent vivre sans boire ». C’est aussi vrai pour les oiseaux : seules trois espèces, granivores, sont très liées aux points d’eau et « ne s’en éloignent guère ». Mais comment font les autres ?
Il est vrai que le texte de Monod date de 1937, j’ignore si la connaissance scientifique a progressé sur le sujet…Sinon il y a là un sujet d’étude passionnant.
(*) « Méharées » de Th. Monod, ed Actes Sud 1989, p 235, 236
Pic Epeiche
Buse & Milan Noir
Issepts - août 2009
Combat de haut vol entre une buse (à gauche) et un milan (à droite)
Comment les distinguer : la queue du milan est échancrée, celle de la buse est étalée. La différence est plus visible sur la seconde photo
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